Bunshichi se sentit tout collant, à cause de la transpiation. Il décida donc d'aller prendre sa douche, comme d'habitude, chez les filles, il y avait toujours une chance d'en entrevoir une a moitié nue. Tawara avait prit sa serviette, son shampoing et son savon, et se dirigeait vers les douches.

Il entra dans l'immense salle de bain des filles, où un parfum senteur de fleur flottait dans l'air, projettant immédiatement des images érotiques dans l'esprit pervers de Bunshichi, qui sentit l'eau lui monter à la bouche comme un gourmand devant un BurgerKing. Bunshichi entra dans une des cabines, jetta sa serviette et actionna la douche, tout d'abord gelé par l'eau glaciale, puis, s'habitua peu à peu au liquide froid. C'était pour lui une forme d'entrainement que de prendre sa douche sous l'eau glacée, qui lui forgeait une résistance au froid et lui permettait de repousser ses limites. De plus, l'idée qu'une fille aux atouts de Pamela Anderson pouvait le surprendre à tout moment le réchauffait plus qu'un feu de cheminée...

Isuzu se sentit très sale à la fin de la journée. Elle ne savait pas exactement ce qui avait provoqué ce sentiment, mais c'était bien ce qu'elle ressentait. Elle se mit donc en peignoir dans sa chambre, prit une serviette et sa trousse, et sortit du dortoir des filles pour se diriger vers la salle de bain, attirant les regards pervers de certains élèves dans le couloir.

Elle finit par arriver dans l'immense salle de bain des filles, dans laquelle elle entra sans plus attendre. Elle fut surprise d'entendre une voix chanter dans l'une des douches. A vrai dire, ce n'était pas vraiment le fait que quelqu'un chante sous sa douche qui était surprenant, c'était plutôt le fait que la voix était...masculine. De plus, Isuzu connaissait très bien cette voix. Elle sentit une colère mêlée de honte lui monter dans la tête, et, sans vraiment réfléchir, enfonça la porte de la douche d'où le chant provenait.

Comme elle s'y attendait, c'était Bunshichi qui était en train de se laver. Ce à quoi elle n'avait pas pensé, et d'ailleurs elle s'en voulait de ne pas y avoir pensé, c'était que comme Tawara se douchait, il était complétement NU. Isuzu se sentit rougir jusqu'aux oreilles et oublié totalement sa colère pour sortir le plus rapidement possible de la cabine pour aller se réfugier dans l'une des cabines voisines.

Kayugui qui trainais dans les couloir, vu Isuzu en direction des douche des fille en petit peignor...
* qu'est quelle est charmante dans cette tenue* pensa directement Kayugui.

Puis en continuan son chemin, il entendit Isuzu poussé un petit cri. Donc après quelque seconde de réflexion il pensa que Isuzu eut un probleme donc il rejoint la fille dans les douche et il vu Isuzu rentrais dans la cabine de douche, d'ou un chant d'homme retentissé, puis sortir, rouge jusqu'au cheveux partir dans une autre cabine.
Kayugui avait le sourire jusqu'au oreille en pensan a tout les comérage qu'il va pouvoir faire dans l'intitut.

[ vraiment pervers Tawara c'est abusé lol ]

[AHAHAHAHAHAHA MON PIEGE A FONCTIONNE]

Bunshichi était en train de tranquillement se laver lorsqu'il entendit un craquement sonore derrière lui. Il se retourna et vit Isuzu, rouge comme une tomate mure, qui se trouvait en face de lui, debout, la porte de la cabine défoncée à ses pieds. A voir l'un des membres de Bunshichi, il semblait content de la voir en ces lieux.

Isuzu sortit de la cabine en courant, toujours aussi rouge, pour aller se réfugier dans une autre, voisine à celle de Bunshichi. Celui-ci termina de se laver, sans être gêné par le trou béant qui avait remplacé la porte, et lorsqu'il eut terminé, il noua la serviette autour de ses hanches, et sortit de la douche. Il se dirigea vers la cabine dans laquelle Isuzu s'était cachée, et frappa à la porte. Pas de réponse. Il n'entendait pas le bruit de l'eau couler, donc il en conclut qu'Isuzu ne se lavait pas.

"Isuzu, c'est Bunshichi ! C'est pas très bien de défoncer la porte des douches où des gens sont en train de se laver ! Après, on dit que c'est moi le pervers ! N'importe quoi !"

Isuzu se sentit submergée par une vague de fureur inctrolable. Elle écouta chaque mot que Bunshichi lui disait, sur un ton presque mélodieux, mais qui, aux oreilles d'Isuzu, sonnait comme une prophétie émise par le diable lui même.

Elle ouvrit la porte à la volée, le visage toujours aussi rouge, mais de fureur cette fois, et lui hurla à la figure :

"Espèce d'Abrutii!!!! Qu'est-ce que tu foutais dans une douche dans la salle de bains des filles, pervers !!!! Si je ne me retenais pas, je pense que je t'étriperais et te pendrais à tes boyaux !!!"

Elle s'arrêta de crier pour reprendre son souffle. Elle entendait chaque battement de son coeur qui étaient si forts qu'ils semblaient sur le point de rompre ses côtes. Isuzu se calma cependant peu à peu, et arriva même à sourire.

"Allez...Disons que je te pardonne...c'est pour te remercier de m'avoir sauvé toute à l'heure...Mais t'es quand même un gros pervers !"

Bunshichi regarda Isuzu, étonné de sa remarque. Il ne s'attendait pas à s'en tirer à si bon compte après ce qu'il avait fait. Mais bon, si elle le prenait aussi bien, tant mieux pour lui !

"Hé, Emi, puisque tu m'as vu tout nu, tu dois me remercier, et me montrer les armes que la Nature t'as donné ! Qu'en dis-tu, ce serait normal pour quelqu'un comme toi, qui n'est pas un ingrate !"

Il savait qu'il poussait le bouchon mais il s'en moquait, c'était le genre de remarque qu'il ne pouvait pas s'empêcher de lâcher, à n'importe quel moment, surtout à des filles comme Isuzu qui savaient ce qui arrivait en sa compagnie.

Emi se sentit soudain gonfler d'une rage inctrolable, doublée par une envie irrépréssible de rire.

Elle fit exprès de rougir énormément, et lança un regard plein de douceur à Bunshichi, puis, s'exclama d'une voix tout aussi douce, et fragile :

"Je...je ne suis pas sûr que tu aimerais ça...suis-je assez bien pour toi?"

Puis, elle fit mine d'enlever un pan de sa serviette, sans enlever complètement l'essui, ne laissant sous le regard de Tawara aucune partie de son corps qui aurait déclenché ses hormones.

"Veux-tu vraiment que je te montre...Ou veux tu un peu plus?"

Bunshichi sentit un morceau de son corps grandir et se lever, devenant monstrueux, et levant une partie de sa serviette. Il passa sa main dans les cheveux d'Isuzu d'un geste délicat.

"Je ne dirais non à ni l'un ni l'autre, Emi, je veux bien que tu me montres, et je veux bien faire plus, bien sur, mais je ne voudrais pas te faire mal...Es tu sûre que c'est ce que tu veux vraiment?"

Il lui sourit, comme un père souriait à sa fille, mais d'un geste plus pervers, bien entendu. Un peu de bave avait commencé à couler de sa bouche, mais il l'avait aspirer en quelques secondes, avant qu'Emi ne l'ait vue. Il approcha ensuite sa main du peignoir d'Isuzu, d'un geste tremblant d'excitation, prêt à le lui enlever.

"IMBECILE ! TU CROYAIS VRAIMENT QUE JE ME METTRAIS NUE DEVANT TOI, SALE PERVERS !!!!"

Une fois ces paroles dites, elle balança un coup de poing surpuissant à Bunshichi, et le roua de coups une fois qu'il fut par terre, très en colère. Une fois qu'elle eut passé ses nerfs sur lui, elle sortit de la salle de bain sans même se doucher, trop énervée pour rester la dedans.

Elle parcourut les couloirs de l'Institut en peigoir, ce qui lui attira les regards de nombreux élèves, et accentua encore sa colère. Si un d'entre eux osait dire quelque chose, Emi se dit qu'elle le tuerait probablement. Elle se dirigea vers sa chambre et y entra, fermant la porte à double tours, puis s'assit sur son lit et commença à s'habiller d'un geste las.

Bunshichi se releva péniblement. Le pain qu'Isuzu lui avait collé lui avait fait mal, heureusement qu'elle n'avait pas dégagé cette force dans l'Arène, car Tawara ne donnait pas cher de sa peau à ce moment là ! Mais pour le moment, il était bel et bien envie, et, faute de l'avoir vu en vrai, s'imagina Isuzu nue lui demandant de la tripoter. Il dut cependant mettre un therme à ce rêve pour le moins excitant, pour sortir des douches et se diriger vers sa chambre. Tout ce remue-ménage l'avait fatigué, et il avait besoin d'une bonne cure de sommeil pour se remettre de ses émotions.

Peut-être que si il revenait se doucher tous les jours dans la salle de bain des filles il finirait par atteindre son but depuis longtemps resté inaccessible, à son désarroi le plus profond. Pourtant, Bunshichi se sentait poète, et les filles aiment les poètes !