Comme promis, Masataka faisait faire le tour de l'école à sa nouvelle amie, l'emmènant jusqu'à la cafèt, l'un de ses endroits préférés. Ce qu'il aimait se goinffré des plats qu'Aya, la jeune soeur de Maya et de Shin, lui conffectionnait si gentiment...Ahlala, il se sentait rêveur en entrant dans cette salle, suivi d'Etsuko.

"Ici est, à mon sens, l'un des endroits les plus importants de l'école, là où on mange ! Si tu te sens triste, ou après une défaite, ou si tu t'ennuies, les cuisiniers te serviront un de leurs petits plats...Ce sont les meilleurs du pays ! Si si, je t'assure !"

Peut-être exagérait-il un peu, en tout cas c'était d'excellents chefs qui leur servaient leurs repas, et ils avaient beaucoup de chance, la majorité des écoles n'ayant pas cette chance (les pauvres). Même si Masataka passait à nouveau probablement pour un idiot, il s'en fichait, partageant avec Etsuko les choses qu'il appréciait le plus dans l'institut, ce qu'il trouvait important. Après tout, il se devait d'être naturel avec elle !

Masataka ne comprenait plus rien. Qu'arrivait-il à son amie, qui, tout à coup, passait du rire aux larmes sans raison apparente...elle était pour le moins lunatique, et, malheureusement, Takayanagi n'était pas très doué pour réconforter les gens, encore moins une fille. Comment allait-il se sortir de cet embarras ? Il se gratta l'arrière du crâne, de la sueur perlant sur son front, tandis que le stress commençait déjà à monter en lui, qui cherchait une solution aussi rapidement qu'il le pouvait.

"Qu'est-ce qui t'arrive, Etsuko ? Tu riais, et tu commences soudainement à pleurer...c'est moi qui ait fait quelque chose ? Ou bien tu repenses à un souvenir malheureux ? Tu veux peut-être en parler, te confier ? Même si je ne sais pas si je suis la bonne personne pour ça, je ne suis pas très doué..."

Il se tût, mal à l'aise, pensant que le silence valait mieux que des tentatives malhabiles de réconfort, ce qu'il pensait faire. Il ne savait plus ou se mettre, devant le mal être de sa nouvelle amie, qui le prenait au dépourvu...il détestait ce genre de situation, et d'habitude, faisait tout pour les éviter, mais là, il était en plein dedans. Quelle chance...